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jeudi 11 mars 2021

AY AM - Christ - Enseignement sur la Résurrection

 


Je suis CHRIST.

Mes bien-aimés, Je viens à vous en ce jour pour continuer les enseignements que J'ai engagés. Je viens vous parler de la Résurrection.

La Résurrection n'est pas une forme de sacrifice, elle est ce qui s'ensuit l'illusion du sacrifice qui mène à la Vie Éternelle. 

La Résurrection n'est pas la fin de l'être, Elle est ce qui lui permet de retrouver l'Essence de ce qu'Il Est, au-delà de la vanité des jeux de la personne, vanité de ce qui est vain, vanité de ce qui n'est pas le vin qui célèbre l'Eucharistie - celle qui est l'offrande du pain de l'être donné à s'élever au travers de la chair, et au-delà de toute chair.

Cette vanité n'est pas un problème en soi, mis à part le fait qu'elle vous sépare de ce que vous Êtes en Vérité, car elle vous plonge dans une avidité du "je" qui vous éloigne de la possibilité de sortir de ce jeu.

La vanité n'est pas un sauf-conduit. Elle ne vous mènera nulle part ailleurs que là où vous êtes déjà, peut-être, au sein d'une personne qui ne demande qu'à enfler dans les proportions que prennent ses désirs de contrôle et ses peurs.

La vanité est une prétention à être ce que vous n'êtes pas, qui s'accompagne d'un désir de montrer ses biceps, sa grandeur, ses mérites, alors qu'il n'y à là-dedans qu'un vide qui se ment à lui-même. La vanité vous tend afin d'être autre chose, jusqu'à l'éclatement qui surgit tôt ou tard, car il n'y a pas d'espace dans la Création qui tolère que ce qui n'est pas Vrai puisse indéfiniment continuer son expansion.

La vanité est le principal obstacle à la Résurrection, car elle tourne et tend l'être dans l'autre direction, celle où il tourne le dos à ce qu'il Est déjà. Ressusciter n'est pas autre chose que l'Abandon de cette erreur de direction, suscitant à nouveau, dans cette réalisation de l'erreur un mouvement naturel de l'être qui consiste d'abord à arrêter de s'en éloigner.

Ressusciter n'est pas, non plus, susciter en nous quelque chose de nouveau, mais simplement se rappeler quelque chose d'oublié. La Résurrection est ce "pas" qu'on s'invite à franchir, sans faire un pas ailleurs qu'au-dedans de soi. Ce n'est pas un chemin courant une distance, car seul le déplacement de la conscience en crée la perspective.

Il n'y a pas à gravir des montagnes, il n'y a pas à prouver son courage. Il y a simplement à voir ce déplacement pour ce qu'il est, et cette Reconnaissance est ce qui amène là où vous demeurez. Il n'y a dans cet "amen" que de l'Humilité, celle qui accepte que tout vous est donné et que votre seule erreur est de ne pas le voir.

Il vous faut accepter cette Simplicité, ou ne pas l'accepter. C'est comme vous voulez.

Mais il n'y a rien d'autre qui vaille la peine, en vous, d'être ressuscité, car tout le reste alors naturellement - chacun à son rythme, le rythme de ses pas, dans cette marche intérieure qui est redécouverte de ce qui marche déjà.

La Résurrection n'est miracle que pour celui qui croit que cela n'existe pas. Cette croyance est une grille placée devant la porte du château où réside l'Esprit. Elle vous en barre l'accès plus sûrement qu'une immense armée.

La Résurrection est l'Abandon ultime de ces jeux de miroir où la personne se contemple, dans l'illusion de ce qu'elle croît être et de ce qu'elle pense impossible, ou qui, de son point de vue, ne la concerne pas.

La Résurrection, c'est remettre son esprit à ce qu'il Est déjà, afin qu'il puisse revivre la Vérité qu'il n'y a nulle "personne", qu'il n'y a personne. Cette Vérité-là est une mort symbolique, qui est à accepter par ce qui n'est personne. Elle n'a pas à être désirée, car cette Vérité est là de toute Éternité : elle est à embrasser, il suffit de s'y fondre.

Alors, arrêtez de courir. Où courez-vous comme cela ?

Croyez-vous que la mort ne vous attende pas ? Ou voyez-vous déjà que cette croyance-là provient de ce que vous n'êtes pas ?

Il n'y pas à ressusciter puisque vous l'Êtes déjà, dès qu'il n'y a plus personne. Là est l'Humilité, celle de voir qu'en fait ce qui disparaît est poussière, poussière d'Éternité, et que seule peut tomber tout au fond de la tombe l'illusion d'être né.

La sortie du tombeau n'est pas une renaissance. Ce sont des Retrouvailles avec ce que vous Êtes de toute Éternité et qui n'est jamais né, et ne mourra jamais.

Il n'y a dans ces mots qu'une tendre résonance, car mon Cœur vous appelle. J'ai toujours été là, de l'autre côté des voiles de l'illusion, et Je Suis à présent plus proche que jamais.

Je Suis CHRIST et Je vous enseigne que la Vérité à toujours été là, et que la Résurrection n'est que la disparition de l'illusion de la personne.

Je Suis CHRIST et Je viens ériger le Temple, comme Je l'avais promis, de ceux qui répondent à l'appel et lâchent tout de l'illusion. Mon Épée de Vérité vient trancher ce qui reste encore d'attachements illusoires - non pas pour vous libérer, mais parce que vous reconnaissez votre propre liberté.

Je Suis CHRIST et Je vous adresse un cri d'Amour pour que vous vous réveillez à la Vérité et que vous ressuscitiez d'entre les morts qui tournent en rond dans le jeu de l'illusion.

Je vous aime et Je vous attends.

Source : www.terrenouvelle.ca














mercredi 10 mars 2021

AY AM - Enseignements du Christ

ANAËL a communiqué les précisions suivantes concernant l'état d'esprit auquel nous somme conviés dans la mise en oeuvre de ces Enseignements, afin de nous permettre de bénéficier de façon optimale de leur ensemencement vibrant :

"Ainsi que vous le savez, la mise en résonance des Enseignements du CHRIST est une chose essentielle.

Il ne s'agit pas en effet de les laisser dans un placard mais, bien au contraire, d'inviter littéralement chaque être vivant à la surface de cette Planète à s'en imprégner, si cela lui sied, et à résonner au travers de ces Enseignements en communion et en fusion avec le CHRIST, et en dissolution dans la nature véritable de l'Être.

Ce qui compte avant tout, c'est la façon dont l'être qui s'apprête à lire et faire vibrer de tels Enseignements se place en conscience afin de vivre leur lecture. Il s'agit effectivement d'une forme de lecture, mais qu'il ne convient pas - surtout pas - d'appréhender au travers de l'ancien prisme d'une lecture distanciée, séparée de ce qui est lu. Tout ceci est bien sûr à résonner et à vibrer : là est l'essentiel. 

Il convient donc de ne pas surcharger l'attention par rapport au contenu des mots prononcés et vibrés, mais effectivement d'inviter chacun à se placer dans un espace où il se laisse littéralement ensemencer par le verbe, sans rien chercher à comprendre ni saisir de ce qui est dit en apparence.

Sachant que dès lors, il existe de multiples façons, d'un point de vue pratique, de vivre ces lectures - à voix haute ou à voix basse, seul ou en groupe, et je dirai de toutes les façons qu'il plaira à chacun d'adopter."


Enseignement sur la Sacralisation de la Matière par l'Esprit
Christ


Je suis Christ.

Mes bien-aimés, je viens à vous comme convenu pour achever les enseignements que j'ai commencés auprès de vous. Je viens vous parler de la sacralisation de la Matière par l'Esprit.

Je suis dans une forme de parallèle et de paradoxe à la fois,  car ce que je suis ne peut en aucune manière prétendre à vivre la matière, où Je ne Suis pas actuellement présent, mais Je Suis dans le même temps ce qui insuffle à la matière ce qui lui permet d'être présente à l'Esprit.

Je suis donc à la fois le principe qui anime cette matière afin de la restituer en l'Esprit, et Je Suis en l'Esprit ce qui n'a nul besoin de matière.

Je Suis ce qui n'a pas de commencement ni de fin, car l'Esprit est éternel. Et Je Suis en même temps ce qui donne naissance à ce qui n'est jamais né, mais qui a souhaité se contempler dans un jeu de miroir infini lui permettant de se découvrir, toujours plus, en ses innombrables facettes.

Je Suis le principe qui gouverne et anime ce qui, en fait, n'a besoin d'aucune gouvernance et qui est la Vie, déjà avant que j'intervienne.

Je Suis ce principe qui ne vise qu'à susciter cette Résurrection de ce qui est déjà, et qui cependant joue à s'oublier afin de mieux se perdre dans ce miroitement en abyme des facettes de l'UN. Et surgissant alors du gouffre de cet oubli, de ces oubliettes infinies, J'opère la manœuvre qui ramène au Père, car c'est de cette manœuvre que dépend le Réveil. Et la seule chose qui s'oeuvre, c'est qu'un fil ténu, mais inaltérable, vous ramène à vous-même dont vous étiez évanoui.

Cette pêche miraculeuse n'est rien d'autre qu'une bouche qui enfin se débouche pour permettre l'arrivée, en sa gorge déployée, de l'hameçon de son âme, lui disant qu'il est temps de sortir des eaux basses où il joue à nager pour revivre les Eaux Claires de l'Être Immaculé.

C'est un Être sans tâches qui peut y pénétrer. Il n'y a donc nulle place pour qui ne s'est pas lavé au bain des Eaux Lustrales qui viennent le préparer.

Ainsi est le poisson qui se pêche via ce fil : il a son propre hameçon engorgé en son âme, et il n'a pour appât que ce qui vient étrangler son désir d'entrouvrir cette bouche affamée, assoiffée de cette Eau dont elle ne peut se nourrir car elle baigne dedans sans même la découvrir. 

Ainsi est le pêcheur, il ne pêche que lui-même. Le poisson qu'il désire empoisonne son âme car cette pêche l'attire là où la bouche est trop étroite, la gorge est trop serrée, par l'avidité de ce qui veut être capturé et possédé, et par la peur de le voir s'échapper.

Alors ce pêcheur se dépêche et se hâte vers cet endroit où il ne peut rien remonter à la surface d'autre que sa propre erreur, telle qu'elle se reflète dans le miroir de la surface de l'eau.

Il n'a rien à saisir avec une canne à pêche, si la canne qui pêche s'appuie sur autre chose que sa propre droiture. Car cette canne doit devenir tel le bâton du pèlerin qui marche, et qui ne s'appuie en fait que sur l'axe de sa marche.

Il est souple et rigide, les deux à la fois, ce bâton qui empêche jusqu'au moindre faux pas, car dans sa tenue se trouve le fil ténu qui remonte jusqu'à moi. 

Il n'y a dans ces lignes qu'une humble pêche à la ligne, qui vous montre qu'un tel poisson ne se pêche qu'à l'endroit où il n'y a nul appât. Car le désir empêche que l'hameçon se retourne pour se mettre à l'endroit où le fil se voit, et où  la filiation, devenue évidence, d'elle-même tire le moulinet où danse le poisson.

Il n'y a de pêche miraculeuse que pour celui qui croit qu'il faut qu'un hameçon soit mis avec ses doigts, tout au bout de ce fil que le poisson ne voit. L'hameçon est déjà là, et il attend son heure.

Le fil ne se voit pas pour ne pas gêner ce nageur.

Et que la canne soit droite ne dépend que de l'ardeur avec laquelle le poisson aspire à remonter le fil de son histoire, qu'il a lui-même laissé se débobiner pour pouvoir oublier qu'il ne peut filer qu'en droite ligne de ce  fil.

La Matière est sacrée, car elle est déjà tissée de ces fils enlacés sans s'en apercevoir, et elle tisse des patrons qui ne sont dirigés que par la Beauté de ce qu'on ne peut voir. Cette Matière est brodée de multiples façons, car elle vient s'agencer sans rien pour l'empêcher de réaliser ce qu'elle souhaite réaliser.

Elle tisse sans aiguille ni bâton, et rien ne peut venir dévier le bras de son métier.

Elle se moque du pêcheur, car il n'y à rien à pêcher qui ne soit déjà inclus dans ses trames dorées.

La Matière est souveraine, car c'est elle l'étoffe où viennent s'imprimer les motifs de nos vies. Elle est déjà Sacrée. Et l'hameçon dégagé ouvre l'âme à l'Esprit, qui retrouve le fil d'Ariane qui vient lui révéler la trame inouïe dont son histoire est tissée.

La Matière est Sacrée, et l'Esprit retrouvé retrouve en la Matière ce à quoi il s'est consacré, s'apercevant alors que ce qui s'est déroulé est comme un fil d'or qui participait à broder les trames d'une intrigue, les motifs d'un trésor qui se miroite sans fin dans un brocart de fils d'or.

Le sens du Sacré ne peut être révélé qu'à celui qui consacre le fil entier de son histoire à participer au brocart sans rien en brocarder. Par ce fil alors, il peut être hissé, ici-même, où résident les Maîtres à tisser. Car dans cette navette, entre le né et le non-né, ne se crée que ce qui peur venir rehausser la Beauté du trésor.

La Matière est Sacrée et l'Esprit s'y consacre, voilà la Vérité pour qui sait l'entendre.

Je Suis CHRIST et Je vous enseigne que l'œuvre Divine est Sacrée, et que le fil qui vient la révéler n'est autre que le fil qui sert à la tisser.

Je Suis CHRIST et je tisse cet enseignement entre nous, afin qu'il vienne soutenir et rehausser l'éclat des fils que vous tissez.

Je Suis CHRIST et Je Suis le fil, et le Fils qui vous ramène au Père. Là ou l'Esprit est Roi et la Matière est Reine. Là où n'existe pas ce miroir qui sépare l'éclat de la Matière de celui de l'Esprit, car cet éclatement n'est qu'un éclat de rire ou la Matière à rire est faite de traits d'Esprit. Et où l'Éternité leur est donnée pour jouer ensemble.

Je suis CHRIST et J'enseigne qu'en Amour tout est Sacré. Et que se redresser après s'être courbé, c'est d'abord redresser en soi cette Vérité.

Je suis CHRIST et Je vous aime.

À toujours.

Source : www.terrenouvelle.ca

Le But d'une Vie

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